jeudi 15 mars 2007

J'ai la page blanche et les journées trop occupées pour penser.
Faut-il être rendu aveugle pour oublier de sentir le temps qui s'échappe...

4 commentaires:

Véronique a dit...

:D

Francis Lussier-Charron a dit...

Syndrôme nous affectant tous un jour où l'autre... le plus éphémère possible.

Perrasite a dit...

Il a un gros syndrome blanc dehors ce matin. Excellente journée pour fermer les livres.

Anonyme a dit...

Une halte impromptue sur vos écrits. Des mots comme des notes, qui composent harmonieusement des mélodies familières. Je connais le compositeur de cette musique, mais la majorité des morceaux présentés me sont inconnus. Une curiosité malsaine me pousse à vous lire.

A la lecture de la lettre qui cache mon identité, je suis triste car je ne décèle que de la déception. Je devine certaines désillusions que j’ai fait naître en vous. Je respire de ne pouvoir lire d’archives antérieures à janvier 2006. Ma curiosité m’aurait poussé à les lire, et mon calvaire n’en aurait été que plus grand.

J’ai découvert aujourd’hui ces fragments de votre vie. Je me demande combien d’autres lettres se sont reconnues et ont lu vos chroniques. Toutes ces initiales ne peuvent qu’envier votre facilité et votre aisance littéraire.

Bonne continuation, Mlle Spirale.