samedi 24 novembre 2007

Les journées comme aujourd'hui n'arrivent pas souvent.
C'est le sentiment de malaise dans tout le corps qui est annonciateur. Comme le lendemain d'une fête terrifiante, le coeur qui ballote doucement, la tête qui chavire aux mouvements rapides.
Un sentiment de malaise causé par aucune fête.
Juste l'envie de tout foutre en l'air.
Des journées où même si le monde est parfait, il enferme. Il referme. Il écrase.
Des journées où j'ai envie de lui crier de s'enfuir le plus loin possible pendant vingt-quatre heures parce que je pourrais avouer des choses horribles qui ne se sont peut-être produites qu'en rêve, lancer des assiettes, faire mes valises ou les siennes.

Aujourd'hui est une journée comme cela. La tête dans la musique, j'attends son retour.

jeudi 22 novembre 2007

Peut-être parce que les gens heureux n'ont pas d'histoire.

Ou peut-être parce que mon histoire manque de temps en enfilant les vingt-quatre heures sans s'en rendre compte.

Peut-être aussi parce que les mots me font peur.

Encore.