mardi 24 avril 2007

Sur la terrasse ensoleillée, quoique assez froide, d'un restaurant rue Laurier, trois gars en grande conversation. Sur le trottoir, une très vieille dame habillée pour une grande soirée apprend à faire de la bicyclette. Dans ma main, tout le bonheur du monde.

J'ai enfin appris à être méchante.

8 commentaires:

Amadeo a dit...

Attention à ne pas te brûler les doigts par contre, on prend goût rapidement à la méchanceté, et c'est une drogue qui peut faire mal!

Amnésie et autres cies... a dit...

*Sourire*
Je vais faire attention. Mais parait-il qu'il en va de ma survie...

Marie Eve a dit...

Je comprends très bien ce que tu veux dire. Moi aussi avant j'étais trop patiente, trop bonne. Un jour je me suis retrouvée avec une immense colère refoulée qui a explosée entre les mains de l'homme que j'ai le plus aimé. Dommage mais tant mieux que j'ai pu m'en débarasser. Ensuite j'ai appris.

Anonyme a dit...

Ma vie est conditionnée par la colère et la haine. Le désavantage de cela, on se brûle effectivement rapidement.

Anonyme a dit...

N'écoute pas les "à ce qu'il paraît", il n'y a aucune raison valable à la méchanceté. La base c'est la bulle autour de toi qui filtre les trucs: le mieux elle atténue, le moins d'occasions ou de nécessités d'user de hargne tu auras.

Presque du Yoda hein? ;-)

Dans ta main, c'était de chair?

L'intense a dit...

Triste monde dans lequel notre survie dépend de notre méchanceté. Si c'est ça la vie, moi je reste couché...

Véronique a dit...

est ce que je suis mécnahte,,, méchante bonne question?

Amadeo a dit...

La méchanceté, c'est relatif. Si un truc nous fait du bien personnellement, c'est pas méchant. Sauf que si un autre le prends pas comme tel...

;)