dimanche 8 janvier 2006

Étalitude

"Le monde est ainsi fait,
imparfait..."

Un dimanche soir qui n'a rien d'ordinaire.
Il n'y a eu ni la peinture sur mes doigts et sur la toile,
ni la solitude habituelle.
Des voix,
des mains,
des sourires,
des baisers même...
Qui goûtaient le saxophone.

Et puis vingt-deux heures, cette envie irrépressible de retour à la tranquilité, de liberté totale et sans compromis. Pourquoi les envies d'être à deux ne durent chez moi jamais plus que 24 heures?

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