samedi 18 avril 2009

Je me suis réveillée dans le noir, un vague mal de tête côté gauche. Dans mes jambes, un gros chat orange. À mes côtés, le vide.

Je me suis rappelée lui avoir presque lancé son oreiller alors qu'il ouvrait le futon. Je me suis aussi souvenue de la phrase qu'il m'avait déjà dite:
- Si je dors sur le futon un jour, ce sera la fin.

J'ai pris mon orgueil à deux mains et je suis allée le rejoindre.

1 commentaire:

Chuck a dit...

Pas toujours évident de piler sur son orgueil, hein ?

J'espère que ca s'est arrangé...