lundi 24 novembre 2008

Le sourire de Vincent Vallières m'a fait penser à toi.
Un sourire qui se veut vrai, mais qui reste à la limite de l'arrogance et du mystère.
Je me rappelle tes lèvres.
On ne s'embrassait pas beaucoup, tu goutais le savon et je préférais tes mains sur ma peau nue.

Combien de temps déjà que j'ai changé de numéro de téléphone sans t'avertir?

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