mercredi 8 octobre 2008

La sens-tu?
L'hésitation, la toute petite, lorsque mon corps vient se loger contre le tien.
L'entends-tu?
Cette musique qui accompagne mes pas et qui n'est pas la tienne? Je ne sais pas, parfois tes yeux et tes oreilles me semblent absents quand je te hurle qu'il faudrait que tu me tendes la main, maintenant.

Impérativement.

1 commentaire:

Francis Lussier-Charron a dit...

Toujours l'absence de l'autre est une ombre, un poids, un manque d'air... cette autre que tu cherches sans jamais trouver au détour des rues. D'infinis tourbillons qui font valser au creux de toi une tendresse réprimée.

À la fin, tu te demandes: mais quand la légèreté a-t-elle bien pu foutre le camp?