jeudi 22 novembre 2007

Peut-être parce que les gens heureux n'ont pas d'histoire.

Ou peut-être parce que mon histoire manque de temps en enfilant les vingt-quatre heures sans s'en rendre compte.

Peut-être aussi parce que les mots me font peur.

Encore.

2 commentaires:

Anonyme a dit...

C'est du deja dit mais, il y a rien comme la profondeur des malheureux.

Francis Lussier-Charron a dit...

Un intermède de plume suspendue...
beaucoup trop long à mon goût.