mardi 18 septembre 2007

Alors que tout parait si simple, voilà que le temps de quelques semaines, l'on se retrouve de nouveau seule dans la tourmente.
Terminées ses attaches de nuit où contre les cauchemars il y a le corps de l'autre qui protège.
Il faut réapprendre à se calmer seule.
À trouver ses propres solutions, le soir venu, pour affronter demain.

Alors que tout parait si simple, voilà que sans l'autre il faut orchestrer le départ. Je n'ai jamais été musicienne.

2 commentaires:

kim... a dit...

oh... le joueur de piano belge a tiré sa révérence?

Amnésie et autres cies... a dit...

*sourire*
Il est allé arroser ses racines...