mardi 3 juillet 2007

On a fait une crise au milieu de la rue. On s'est presque laissés tellement on ne savait plus que dire pour s'empêcher de hurler.

On s'est fait quelques reproches, on a pesté contre les efforts à faire, on a oublier les montagnes de promesses.

On est rentrés chacun de notre côté. Moi plus tard, par mille détours dans ma tête comme sous mes pieds. J'ai pris des ruelles pour lui dire de partir, des rues pour me convaincre d'essayer encore.

Quand je suis rentrée, il m'écrivait. Nous n'avons pas dit grand chose, on a tenu le divan comme un bouée et, lentement, on a oublié de s'énerver.

2 commentaires:

Marie Eve a dit...

J'aime beaucoup cette nouvelle mise en page et le divan en bouée aussi.

Amnésie et autres cies... a dit...

*Sourire*
Nouvelle mise en page pour cadrer mes humeurs et divan... Simplement parce qu'il était là, au bon moment.