mercredi 9 mai 2007

Je les aurais étripés.
En fait, pour être plus franche, j'en aurais lancé quelques uns par la fenêtre et j'aurais laissé les autres avoir peur avant de reprendre le travail comme si de rien n'était.
À quel page êtes-vous rendus?

1 commentaire:

Anonyme a dit...

Et pourtant, tu poursuis ton labeur avec toute la patience du monde...