Je ne sais plus ce qui se passe.
Ou plutôt je sais mais je me bouche les yeux, je cesse de respirer et je joue à l'autruche, la tête dans le sable.
Trois mois.
Le temps d'une saison ou d'une courte vie, le temps d'un amour.
Qui s'égrène...
Ou pas.
Je me bouche les yeux, je cesse de respirer et je joue à l'autruche, la tête dans le sable.
Pas cette fois, s'il vous plait...
3 commentaires:
:) j'aime...
Moi aussi. Le jeu de l'autruche. Des fois. Ça aide. Quand on a besoin des moments entre. Sous l'oxygène du ciel.
Spirale éphrénée! À quand une poésie printanière où la grisaille fuit car elle a trop duré?
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