Il m'a fallu quarante minutes pour partir de chez moi et atterir en plein Dublin, mardi soir. Il a suffit de descendre quelques marches et de pousser une porte pour gober les six milles et quelques kilomètres qui me sépare de cette ville presque mythique dans mon imaginaire. De la Guiness, des trèfles à quatre feuilles, des voix anglaises, un chanteur en Kilt. Si ce n'avait été du téléviseur en coin qui montrait la partie de hockey, je me serais crue ailleurs...
1 commentaire:
Je pensais que tu étais partie sur les lignes d'un roman, The Dubliners par exemple... mais dans ce livre, tout les personnages veulent quitter l'Irlande...
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