dimanche 25 mars 2012

Tu as grandi. Tellement vite et tellement lentement à la fois au début, mais depuis de façon exponentielle. Tu ajoutes des mots à ton vocabulaire chaque jour. Des merci et assis bien pratiques, des ouais aussi qui font hérisser le poil des bras de ton père. Ton regard change aussi, plus mature, plus observateur. Tu es une éponge et j'ai parfois peur de ce que tu prends de moi.
Et pourtant... Pourtant je te tricote une petite soeur. Une Clémentine pleine de soleil qui viendra pour l'été et chamboulera de nouveau ton univers.
Moi qui ai si peur, toujours, de ne pas savoir te gérer.
La folie est trop facile...