lundi 6 juin 2011

Faire sept heures de route pour voir une exposition qui est déjà terminée. Entamer son samedi matin sous une pluie torrentielle, se réfugier dans un musée où il faut débourser une fortune pour voir une expo qui ne l'intéresse pas et se promettre qu'on ne l'y reprendra plus. Puis...
Découvrir cette salle tout en bois dans laquelle on a l'impression d'être dans un bateau, marcher jusqu'à un marché qui n'existe pas, mais en rire, passer du bon temps entre amis, déguster un thé dans une librairie, entendre la musicalité de la langue...

Revenir. Sept heures de route au retour avec une Z. plus endormie qu'à l'aller et des souvenirs plein la tête.